Plusieurs mois se sont écoulés et que les Français réclament des solutions concrètes par le gouvernement. Le peuple dénonce et demande le retirement au pouvoir de son chef d’état. Cependant, aujourd’hui, on perçoit des tensions entre Emmanuel Macron et son propre gouvernement.

Emmanuel Macron reproche l’exécution de la campagne de vaccination de son gouvernement


Le couvre-feu de 20 heures n’est pas apprécié de tous. Ce qui a suscité plusieurs critiques chez plusieurs Français. De plus, le changement d’avis du gouvernement et l’heure non connu font des mécontents. Et maintenant, le président est la cible du mécontentement des Français. Il paye la mal organisation de la campagne de vaccination contre le coronavirus.

Les habitants du pentagone ne peuvent que faire la comparaison entre leur cas et les pays autour. Certes le pays a déjà commencé à mettre en place la campagne de vaccination, une étape qui ne suffit pas. Une vérité que même le président lui-même a approuvé lors de son discours de fin d’année 2020. Comme dit le dicton, il n’y a que la vérité qui blesse. Certainement, le président n’apprécie guère que l’on compare son pays aux autres. Surtout qu’il n’est pas en très bon chemin dans l’accomplissement de la campagne. Les vœux affligeants du président ont dû faire effet au sein du gouvernement. Donc, on devrait apercevoir un changement majeur dans la lutte contre la pandémie coronavirus. Et ainsi l’éradiquer complètement.

Le 20 janvier : une date fatidique en vue ?


Une année qui commence déjà avec beaucoup de pressions pour le gouvernement français. Les ministres ont reçu ouvertement l’ordre de passer à la vitesse supérieure dans la campagne de vaccination. Il faut accélérer le rythme et aucun retard n’est plus admissible pour personne. Des conséquences sont à considérer. D’abord, celle de perdre sa place au sein du gouvernement. Plus personne n’est à l’abri de la colère du président. Les prochains jours en décideront le sort de chacun d’eux.

À part faire bonne figure, les ministres se doivent de respecter un délai. Ce délai est fixé jusqu’au 20 janvier prochain. Cette date marquera une nouvelle phase de la pandémie coronavirus. Les fêtes passées, les cloches de la lutte contre la crise sanitaire ont d’ores et déjà repris de plus belles. Comme l’action d’Olivier Véran, ministre de la Santé. Il a annoncé la priorité aux soignants plus de 50 ans d’être vaccinés. Mais des décisions radicales devront être prises très prochainement pour l’éradication de cette crise sanitaire.